~+_ Atalante Elhasiel _+~

Nom : Elhasiel

Prénom : Atalante

Âge : 26 ans

Sexe : Masculin

Description physique : Atalante est une vraie perche. Mesurant entre 1m90 et 1m95, il n'est pas très large d'épaule et pas très épais non plus, du moins en apparance. En réalité, il a tout ce qu'il faut là où il faut : pectoraux, abdominaux, V aux hanches et jolis bras. Bref, un militaire, quoi !

Sa peau plutôt claire en hiver prend vite une jolie teinte abricot en été, mais contraste toujours avec ses cheveux noirs en bataille qu'il n'arrive pas à coiffer (il trouve surtout que ça ne sert à rien). Son visage fin fait un peu juvénile et souvent quand on le voit avec sa fille, on pense que c'est sa petite soeur. Ses grands yeux marrons aux reflets rouges sont très expressifs et encadrent un jolie nez fin.

À sa tenue vestimentaire en dehors de son travail, on voit aisément que c'est un militaire. Souvent en kaki ou noir, il lui arrive de temps à autres de mettre un t-shirt ou une chemise blanche, mais sinon il ne décolle pas de son large pantalon kaki et de son haut sans manche de la même couleur ou noir. Pour sortir, il porte une veste noire assez ample. Autour de son cou pend un cordon noir assez épais au bout duquel on peut deviner un fragment de coquillage que sa petite fille a ramassé sur la plage quelques années auparavant. Chez lui c'est plutôt le style décontracté, il ne vit que torse nu et pieds nus (mesdames, ceci n'est en aucun cas une invitation XD).

Description caractéristique : Atalante est réservé et taciturne. C'est du moins la première image que l'on a de lui et qui lui colle assez longtemps à la peau. Certains peuvent le trouver antipathique car il reste stoïque et assez indifférent au reste du monde. En réalité, il est là pour rendre service mais ne préfère pas le montrer pour ne pas se faire exploité par les quelques profiteurs du coin.

Respectueux des ordres et responsable, il se moque éperduement de ce que les autres ont décidé de faire, tant que ça ne mette pas en péril sa carrière. Egoïste ? Eh bien oui ! Mais ne faut-il pas l'être un peu dans la vie ? Travailleur et dévoué, ça ne le dérangera pas de faire des heures supplémentaires, sachant que ça ne peut que lui faire bénéfice.

En dehors du travail, il est encore plus renfermé que pendant ses heures où déjà il n'est pas très expansif. Aimant rester tranquillement chez lui avec sa fille ou sortir juste avec elle, il est assez indifférent vis à vis du monde extérieur. Il sait que son physique peut attirer mais il ne s'en sert pas et préfère, depuis son ex-femme, éviter toute relation, à moins qu'elle ne soit sérieuse et moins fausse. Cependant, il se laisse approcher quand il voit que les intérêts ne le dérangeront pas. Assez calculateur, en effet, il essaie de tout faire pour être le plus tranquille possible, jugeant sa vie assez remplie pour en plus avoir des boulets.

Une fois qu'on a réussi à s'en faire un ami ou quelque chose d'approchant, on découvre alors un jeune homme doux et attentionné, capable d'écoute...mais pas de bon conseil ! Il aime la plaisanterie et est capable de faire les quatre cents coups comme un adolescent, bien entouré (il lui arrive d'ailleurs de le faire au boulot, en essayant de ne pas se faire chopper), il sait aussi se transformer en clown ou en boulet de base pour faire rire les gens...à condition qu'ils en vaillent la peine !

Après c'est un gros maladroit qui ne sait pas trop comment gérer certaines choses de la vie. Si quelqu'un débarque en lui parlant d'un chagrin d'amour, pour peu qu'il ait une part de pizza à la main il essaiera de vous faire gober que c'est un super bon remède contre les problèmes de coeur...Un boulet, hein ? Oui, en effet, je confirme.

Emploi : Homme de terrain de la DREAM

Loisirs : Jouer du piano, se promener avec sa fille

Ce qu'il/elle aime : Sa fille, la musique, se boire une bière après le boulot

Ce qu'il/elle n'aime pas : Qu'on lui colle aux basques, les aguicheuses, les feignants et les profiteurs

Armes et capacités : Atalante est un champion dans le maniement des armes à feu. Il est capable de toucher sa cible à son point faible à une distance de trente mètres par temps de brume (ce n'est pas vraiment naturel mais il n'est pas au courant et personne d'autre non plus, d'ailleurs).

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Nom : Elhasiel

Prénom : Lorolay

Âge : 6 ans

Sexe : Féminin

Description physique : Petite et menue (normal, vu son âge XD), elle a les cheveux châtains clairs, coupés courts, et du même accabis que son père : presque incoiffables ! Sauf qu'elle, elle prend le temps de se les arranger. Comme son père, elle a les traits fins et les yeux noisettes. Sa peau pâle prend vite le soleil...et les coups de soleil, aussi ! Sa tenue vestimentaire est simple, elle est celle d'une petite fille de son âge.

Description caractéristique : Espiègle et joyeuse, Lorolay court de tous les côtés en riant, mettant de la bonne humeur partout. Ne voulant pas montrer quand elle est triste, car elle voit le mal que se donne son père pour leur faire avoir une belle vie, dans ces cas-là, elle s'isole ou s'entraîne à jouer du piano.

Douce et serviable, elle essaie d'aider au maximum son père qui est malgré lui obligé de lui donner certaines responsabilités un peu jeune. Assez obéissante, elle sait aussi comment se débrouiller pour faire dire ce qu'elle veut à son père, dans certaines circonstances. L'art et la manière de charmer les gens !

Souriante et avenante, elle ne va cependant pas souvent vers les inconnus, déjà par principe et puis par une certaine timidité propre aux enfants. En revanche, quand elle connaît les gens, elle n'a pas sa langue dans sa proche et est du genre assez bavarde, mais reste secrète sur certaines choses, comme le fait que l'absence de mère lui provoque un grand vide, mais elle ne dit rien pour ne pas faire de peine à son père, seulement, elle n'a que lui comme modèle, et grandir ainsi pour une petite fille n'est pas très facile.

Histoire : Un jeune homme courrait sous la pluie, une petite fille dans les bras, un sac sur le dos. Il était vêtu comme un militaire et pourtant c'étaient eux qu'il fuyait. Derrière lui une rafale de tirs se fit entendre. Dans sa main gauche, il tenait une arme bien inutile en temps normal contre une salve de tireurs d'élite. Mais pour lui c'était largement suffisant.

Un virage serré sur la piste boueuse et glissante, il dérapa et put apercevoir le camion transportant les fuyards de ce pays maudit. Il en profita pour abattre deux soldats en deux balles placées au coeur et fit une pointe pour rattraper le véhicule bâché ouvert à l'arrière où ses anciens collègues d'armée criaient au chauffeur de ralentir. Le fourgon fut presque au pas et il fit un bon pour attérir brutalement sur le dos sur le sol froid et métallique avec un grand bruit. Par chance, la petite n'avait rien eu, il l'avait protégée au maximum, même si elle avait sans doute eu peur.

Un autre homme d'environ la trentaine se pencha et sous son casque, Atalante devina les traits d'un de ses camarades de bataillon, il lui tendait la main. Passant son arme à sa ceinture mais gardant le petit corps serré contre lui, il accepta cette aide et se redressa. Ce ne fut que là qu'il jeta un regard circulaire au camion. Il y avait en tout dix personnes -douze si on comptait les nouveaux arrivants. Quatre militaires dont un qu'il connaissait et six civils, plus encore le chauffeur et son "copilote" qui devait sans doute veiller à dégager le passage de tout obstacle à grand renfort de mitrailleuse. Parmis les pauvres gens triés sur le volet, on comptait encore deux vieilles femmes et quatre enfants : deux petits garçons, une fillette qui ne tenait pas encore debout et un adolescent qui ne devait pas dépasser les quinze ans. Il l'avait échappée belle, un an de plus et ce serait un autre qui aurait sa place. On ne savait pas s'ils étaient de la même famille ou non, mais ces personnes restaient solidaires dans leur malheur et sans doute qu'elles constitueraient une famille une fois la frontière passée.

Le jeune homme se leva et s'assit par terre pour lui laisser la place. Dégoulinant d'eau et de boue, Atalante le remercia d'un signe de tête. Il avait terriblement soif et l'angoisse lui nouait la gorge et les entrailles. Ses jambes se dérobaient sous lui et il avait l'impression que la banquette, pourtant devant lui, était cent fois trop loin pour qu'il puisse l'atteindre. Il se laissa tomber et bascula la tête en arrière, baissant les paupières. Des cernes s'étaient creusées sous ses yeux et son teint était cireux. Sous son eau collé par la pluie, on pouvait voir certaines de ses côtés, celles qui n'étaient pas cassées et les plus basses. Ces jours passés comme fugitif, caché dans une boutique tenant à peine debout en espérant ne pas tomber dans une embuscade de l'ennemi et que sa petite fille soit en sécurité avaient été les pires de sa vie. Un véritable enfer. Mais elle était là, ils étaient là, tous les deux, et cétait tout ce qui comptait.

Elle s'était sans doute endormie mais lui n'arriverait plus à fermer l'oeil. Le massacre, ce massacre que l'ennemi avait fait, tout ça à cause de lui. Mais comment aurait-il pu savoir que ça allait lui retomber dessus ? Cette chienne, cette sale chiennasse avait osé lui faire ça alors qu'elle ne connaissait même pas Lorolay. Quel droit avait-elle sur elle ? Et dire qu'il l'avait aimée, qu'il avait cru en elle...Même si elle lui avait fait le plus beau cadeau du monde, elle lui avait envoyé en contre-partie la pire des malédictions.

Sarah, cette femme qui avait été son épouse, voilà qu'en plus d'être passée dans tous les lits du camp ennemi, elle s'était entichée du chef de l'état major. Cette...elle avait osé lui faire les pires salaceries, mais il n'aurait jamais pensé à cela. Pendant trois ans, elle n'avait jamais voulu voir sa fille et les deux ans après sa naissance, elle s'était plainte de l'avoir eue et ne l'avait jamais vraiment regardée comme une mère. Comme il travaillait beaucoup, c'était une une jeune femme sans travail qui gardait la petite avec ses propres enfants, si bien que Lorolay ne savait pas bien qui était sa mère dans l'histoire. Le problème ne s'était réglé que lorsqu'Atalante, décidant de prendre les choses en main, la mit dehors et lui interdisit l'accès à son appartement. Ce fut là que la guerre commença réellement pour le jeune homme. Les intrus chez lui se succèdèrent les uns aux autres, et il dut demander à la gardienne d'enfants de cacher sa propre fille au sein de cette famille de substitution. Il n'allait pas la voir pour ne pas qu'on la repère et il en souffrit beaucoup.

Les larmes lui montaient et son visage, à défaut d'être trempé par une pluie stoppée par l'épaisse bâche le fut par un torrent de pleures qu'il gardait en lui depuis qu'il était jeune. Une petite main maladroite se posa sur sa joue. Il rouvrit les yeux, sursautant légèrement. C'était sa fille qui ne dormait pas du tout et qui le fixait de ses grands yeux noisettes.

"Pleure pas, papa. On est sauvé." dit-elle du haut de ses quatre ans.

Il sourit et la serra contre lui. Ses petits bras passèrent derrière son cou. Il se moquait bien qu'on le voit pleurer, qu'on le voit ainsi, il était avec elle, c'était le plus important. Il savait ce qu'elle venait de vivre devait être terriblement dur pour elle. Lui, encore, ça pouvait aller, son salaire dépendait du nombre de litres de sang qu'il avait fait couler ou sauvé, mais elle, elle n'avait jamais été confrontée à la violence, ce devait être trop d'un coup.

"Dis papa, on va s'en sortir, hein ?
-Mais oui, ma chérie. Ne t'en fais pas, tout va bien se passer. On est ensemble, c'est le principal, non ?
-Papa, est-ce que tu m'aimes ?
-Oui, ma chérie, plus que tout.
-Mais...pourquoi t'étais pas là, alors ? Moi je croyais que tu m'aimais plus.
-Je devais le faire, ma chérie. Tu comprends, si j'allais te voir, il pouvait t'arriver malheur.
-C'est à cause de maman, c'est ça ?"
Il déglutit avec peine.
"Oui.
-Pourquoi elle a été méchante avec toi ?
-Tu sais, ta maman ne m'aime plus. Elle a trouvé un autre homme qui lui plaît plus.
-Eh ben elle est bête parce que moi, ce sera toujours toi que j'aime, pour toujours !"

Et elle serra encore ses petit bras autour du cou de son père qui serra lui aussi son étreinte.

Deux jours plus tard, ils étaient prêts à prendre le bateau pour quitter ce maudit continent pour rejoindre la terre natale d'Atalante. Personne ne savait d'où il venait, ce serait dur de le retrouver. De plus, c'était un pays neutre et on irait pas le chercher de ce côté-là. Mais sur les quais, des hommes en uniforme les attendaient. On l'accusait de l'enlèvement de la petite Lorolay Elhasiel, sa fille dont il avait la garde juridique depuis deux ans. Le chef de l'état major ennemi se présenta en personne pour régler l'affaire, car selon lui, elle était de force majeure. Ce ne fut que lorsqu'il vit le jeune homme farouche et maigre tenter de se défendre contre six hommes qu'il comprit que ce n'était peut-être là que le vrai père de la petite fille qui se tenait toute tremblante derrière lui, les mains crispées sur une jambe de pantalon. Demandant qui était l'accusateur, il n'en crut pas ses oreilles. Sa maîtresse voulait récupérer une fille dont le portrait qu'elle lui en avait fait était celui d'une erreur qu'elle préférait oublier ? Il finit par, sans donner aucune explication, dire à ses homme que cet ennemi inconnu était en droit de partir car ce n'était qu'un père qui cherchait à sauver sa fille et qui avait encore le temps d'avoir une vie au lieu de croupir dans un cachot pour un crime non commis. Sarah n'aurait pas sa revanche.

Les vagues battaient contre la coque du bateau. C'était un navire civil, où les passagers allaient de bourgeois en vacances à victimes de la guerre. Atalante était assis nonchalemment adossé à la cabine, face à la proue. Il repensait avec amertume à sa destination. Pourquoi revenait-il dans ce coin ? Certes, il avait juré de ne plus y remettre les pieds, mais en dehors du fait que ce soit le lieu de sa naissance, c'était aussi une ville neutre où il serait en sécurité, et il se devait d'oublier le rester.
Sur le pont inférieur, Lorolay jouait avec les autres enfants, courant de tous les côtés. Elle avait l'air heureuse. Soit elle était endurante moralement, soit elle faisait semblant, ce qui n'était pas impossible. Mais en même temps, elle n'avait que quatre ans, comment pouvait-elle déjà avoir l'idée de faire semblant d'être joyeux sous pretexte qu'on ne veut pas gâcher le bonheur des autres ?

Il se rappela alors son enfance, qui ne fut pas brillante. Il n'avait jamais connu son père et sa mère n'en parlait jamais ou très peu. Il ne lui ressemblait pas à ce qu'il paraissait et il en était très content dans la mesure où il ne l'aimait pas pour avoir abandonné la jeune femme enceinte de quatre mois avec une excuse qu'elle avait acceptée et comprise mais jamais avouée à son fils. Bref, tout ceci pour donner naissance à un petit garçon qui n'était pas au bout de ses peines. Il était adoré de sa mère mais malgré ses efforts pour vivre normalement, la petite gérante du marché aux poissons quotidien ne se remettait pas de la séparation d'avec son ex petit ami. Elle l'aimait plus que tout et de natur faible, elle ne pouvait pas se figurer qu'il y avait une vie après. Depuis tout petit, il se débrouillait tout seul et était l'un des enfants les plus taciturnes et violents de son école, pour ne pas dire la teigne de la cours de récréation. En dehors de cela, il était un gentil garçon prêt à tout pour sa mère, dont il s'occupait d'ailleurs comme si c'était lui l'adulte. Mais on lui demandait de grandir trop tôt et à l'âge de quatorze ans, il lui arrivait de se réveiller en sursaut la nuit aller calmer sa mère en pleure dans son lit et de lui faire prendre ses anti-déprésseurs pour pouvoir terminer sa nuit et aller en cours le lendemain. Tout ceci ajouté fit qu'à seize ans il quitta la maison pour faire son service militaire plutôt que continuer l'école. Il n'aimait pas ça et n'y était pas doué. Il était ainsi donc parti pour un pays lointain et s'était découvert un don inné pour viser avec des armes à feu. Le reste n'avait pas été plus brillant, mise à part la naissance de sa fille.

Il fut de nouveau sur sa terre, sa chère vieille terre qu'il n'avait pas oubliée et qu'il trouva changée pour seulement huit ans d'absence. Il se souvenait d'une petite ville plus tranquille que cela, avec la terreur et la corruption en moins. On parlait partout de démons, chose à laquelle il ne se serait pas attendu. Quand il était petit, ces êtres n'étaient que des légendes, des chimères que presque personne ne craignait. Mais visiblement ce n'étaient pas des blagues, et bien une réalité à laquelle il devrait se confronter. Il était parti pour fuir la guerre et se heurtait à une nouvelle, qui serait peut-être moins barbare que la première. Et puis, ici il avait de quoi vivre, un toît et une famille, du moins, le pensait-il. Quand il se présenta devant la porte de sa mère, il ne reçut aucune réponse et dû aller mander des nouvelles à la voisine qui lui donna les clés et lui ferma sa porte aussitôt. Surpris d'une telle attitude, il entra dans l'appartement qu'il trouva désert.

"C'est là qu'on va habiter, papa ?"
"Oui, c'est là." répondit-il en soupirant, jetant un regard alentour sur tout les meubles recouverts de draps, plus poussiéreux qu'une maison fissurée assaillie par une tempête de sable. "On va avoir du boulot ! Mais on va y arriver. Tu verras, on sera bien, ici !"

Quelques jours plus tard, ils étaient en train de nettoyer la maison de sa défunte mère -car Atalante le savait, elle n'était plus de ce monde-, Lorolay trouva le piano près d'une fenêtre, exactement là où le jeune homme en jouait quand il était petit. Ce fut sa fille qui prit place sur la banquette et appuya sur des touches au hasard, se rendant compte qu'elle faisait n'importe quoi. Alors son père s'approcha et s'assit à ses côtés, usant de sa mémoire pour se rappeler une mélodie qu'il avait apprise dans le temps. Ses doigts fins voletèrent à la surface des touches avec légèreté. Les notes sortirent une à une avec une harmonie altérée par le manque de pratique du militaire. Cela faisait bien deux ans qu'il n'avait plus touché un piano. Autant dire que ce qu'il lui restait était plus que des rudiments. Ce fut à partir de ce jour qu'il décida d'apprendre à sa fille à en jouer. C'était aussi un moyen de passer du temps avec sa fille.

Il s'était promis d'aller sur la tombe de sa mère et il le fit, ammenant avec lui Lorolay pour qu'elle sache qu'elle avait une grand-mère. Face à ce bois sombre et moitié-mort, il n'était pas très tranquille et comprenait pourquoi on parlait de démon de tous côtés. Il avait cette sensation étrange d'être observé, et se souvint des préventions d'un homme du port. On lui avait dit que cet endroit était hanté et que peu de monde s'y risquait. "Pour cinq minutes, je peux bien y aller." s'était-il dit. Cela faisait déjà six mois qu'ils étaient arrivés, ils étaient installés et il avait retrouvé du travail. Que demander de plus ?

Très bonne fiche!!

Bienvenue dans la DREAM!!

Enjoy your game!!

Fiche validée!!

Bienvenu à toi ^^

Merci ^^